"Que chacun examine ses pensées, il les trouvera toutes occupées au passé et à l'avenir. Nous ne pensons presque point au présent ; et, si nous y pensons, ce n'est que pour en prendre la lumière pour disposer de l'avenir.... Ainsi nous ne vivons jamais, mais nous espérons de vivre ; et, nous disposant toujours à être heureux, il est inévitable que nous ne le soyons jamais."
Blaise Pascal

J'ai cherché bien longtemps comment tourner la page sans t'oublier...
Comment poursuivre mon chemin, sécher mes larmes, regarger tout simplement les étoiles sans cette mélancolie noire qui m'envahissait....
Il y a quelques semaines, "elle" m'a remis cette petite plume blanche... Petite Plume qui porte aujourd'hui ton nom...
Chaque matin, quand je te retrouve, mon coeur te parle...
Je t'avais perdu ; le ciel était immense ; les étoiles trop nombreuses...
Après le rituel de la mer, me voici avec le rituel de la plume...
Je suis heureuse de t'avoir retrouvé et pouvoir à nouveau sourire.
Tout à l'heure, je vais retrouver ta grande soeur si fragile mais je sais que tu seras avec nous...
Rire,
c'est risquer de paraître idiot.
Pleurer, c'est risquer de paraître sentimental.
Aller vers quelqu'un, c'est risquer de s'engager.
Exposer ses sentiments, c'est risquer d'exposer son moi profond.
Aimer, c'est risquer de ne pas être aimé en retour.
Espérer, c'est risquer de désespérer.
Essayer, c'est risquer d'échouer.
Celui qui ne risque rien, ne fait rien, n'a rien, n'est rien.
Il peut éviter la souffrance et la tristesse,
mais il n'apprend rien, ne ressent rien, ne peut ni changer ni se développer,
ne peut ni aimer, ni vivre.
Enchaîné par sa certitude, il devient esclave, il abandonne sa liberté.
Seuls ceux qui risquent sont libres.....

Naissance
Au ciel un enfant, sur le point de venir au monde, demande à Dieu :
On m'a dit que vous m'envoyez sur la terre demain, mais comment est-ce que je vais vivre là étant si petit et sans défense ?
Dieu répond : Parmi tous les anges, j'en ai choisi un pour toi. Ton ange t'attendra et prendra soin de toi.
L'enfant demande encore : Mais dites-moi, ici au ciel, je n'ai rien à faire que de chanter et rire pour être heureux...
Dieu dit : Ton ange chantera pour toi et sourira aussi pour toi tous les jours. Tu sentiras aussi l'amour de ton ange et tu seras très heureux
L'enfant demande : Comment est-ce que je serai capable de comprendre quand les gens me parleront si je ne connais pas leur langage ?
Dieu dit : Ton ange te dira les plus beaux et plus tendres mots que tu n'entendras jamais et, avec patience et attention, ton ange te montrera à parler.
L'enfant : Et qu'est-ce que je ferai quand je voudrai vous parler ?
Dieu : Ton ange placera tes mains ensemble et te montrera comment prier
L'enfant : J'ai entendu dire que sur la terre, il y a des hommes méchants. Qui me protègera ?
Dieu : Ton ange te défendra même au risque de sa propre vie.
L'enfant : Mais je vais être triste de ne plus vous voir !
Dieu : Ton ange te parlera de moi et te montrera la façon de revenir à moi. Et, je serai toujours là, à côté de toi...
À ce moment là, c'était très calme au ciel, mais des voix venant de la terre pouvaient être entendues et l'enfant demanda :
Dieu, si je dois partir maintenant, s.v.p. dites-moi le nom de mon ange.
Dieu répondit : Son nom n'est pas important, tu l'appelleras tout simplement maman...
Auteur inconnu

I know there's something in the wake of your smile
I get a notion from the look in your eyes
You've built a love but then loves falls apart
A little piece of heaven turns to dark
Listen to your heart, when he's calling for you
Listen to your heart, there's nothing else you can do
I don't know where you're going and I don't know why
But listen to your heart before you tell him goodbye
Sometimes you wonder if this fight is worthwhile
The precious moments are all lost in the tide
They're swept away and nothing is what it seems
The feeling of belonging to your dreams
Listen to your heart, when he's calling for you
Listen to your heart, there's nothing else you can do
I don't know where you're going and I don't know why
But listen to your heart before you tell him goodbye
And there are voices that want to be heard
So much to mention but you can't find the words
The scent of magic, the beauty that's been
When love was wilder than the wind
Listen to your heart, when he's calling for you
Listen to your heart, there's nothing else you can do
I don't know where you're going and I don't know why
But listen to your heart before you tell him goodbye....
DHT
FEATURING Edmée

Chère Vivi, je t'écris cette lettre
Plein de solitude, l'âme en peine comme d'habitude
Depuis que t'es partie
Depuis que t'es plus là
C'est plus la même
J'ai perdu ma Reine
Et d'un coup mon royaume tout entier s'est vidé
Mon visage aussi s'est ridé, mon coeur lui s'est bridé
Un truc en moi ce matin-là s'est brisé
Et même si je réponds ça va merci
J'ai dans la bouche comme un mauvais goût d'inertie
J'essaie de le masquer mais c'est dur Vivi, je te jure ouais, putain c'est dur
J'ai l'impression qu'il y a plus rien, j'ai peur en fait
Depuis que tes yeux me regardent plus, il se passe plus rien
J'épure même trop
Je le sais ouais
Et ça je le vis mal
J'enchaîne les merdes et t'es plus là au final
Il me reste quoi à moi à par des souvenirs, des tonnes de photos usées
Et puis ton sourire trop longtemps figé
J'peux plus, ou plus pareil
Alors chaque jour je me tue même un peu plus que la veille
Et je tue le temps parfois mal,
Là-haut tu le sens, je le sais
Mais tu me manques bébé tu me manques
{Refrain:}
Un ange dans le ciel
Ouais, seigneur accueille un ange de plus
Un ange dans le ciel
Vivi je t'es dis pas adieu mais a plus
Un ange dans le ciel
Un ange de plus
Un ange dans le ciel
Vivi, pour toi j'ai fais pleurer ma plume
Toi et moi on a tout fait
Toujours prête à me donner ton oxygène dans les moments où tu sentais que j'étouffais
T'étais prête à tuer si on me touchait
Prête à décrocher la lune même si je la voulais
On a grandi ensemble, construit ensemble
Traversé les pires moments
Vieillir ensemble c'est c'est ce qu'on voulait même si on était plus ensemble
On s'en foutait c'est ce qu'on visait
Tu te rappelles, nos fous rires, nos premiers instants, ton sourire
Les moments de silence qui voulaient tout dire
Et on pouvait se nourrir l'un de l'autre
Ouais, tellement j'étais toi t'étais moi
Et ça nos proches en étaient témoins
T'étais ma vie, mon coeur et mon sang
T'étais mes tripes mon moteur et mon sens à tout ça
Alors depuis je tue le temps parfois mal et de la haut tu le sens
Je le sais bébé mais tu me manques
{au Refrain}
Qu'est-ce que je peux dire de plus
À par qu'il n'y a pas qu'à moi que tu manques
C'est un gouffre que t'as laissé Vivi
Tu sais qu'aujourd'hui y'a pas que mes nuits à moi que tu hantes
Pour patou aussi y'a plus d'été
T'en fais pas Vivi non t'en fais pas
On va relever la tête
Je sais que t'aurais voulu nous voir plus forts
Alors on va faire ce qu'il faut pour s'en remettre
Bébé t'inquiète
Je dédie cette chanson non pas a vivi
mais a tous mé potes (bien trop nombreux) ki sont décédés!
je suis l'un des derniers survivant
des transplantés pulmonaires de mon époque,
je me demande souvent, pk j'ai le droit de vivre et pas eu?
la vie les a quitter bien trop tot!! ils seront
toujours ds mon coeur et ds ma mémoire!
Même si tu nous manques beaucoup, et encore plus avec cette nouvelle année qui débute sans toi... tu es dans notre coeur et dans notre mémoire.

Et N'aie pas peur en commençant ta nouvelle vie :
"Toute acquisition noble comporte sa part de risque ".
Celui qui a peur de rencontrer l'un, ne mérite pas d'obtenir l'autre.
Tu sais maintenant que tu es un miracle, et le miracle ne connaît pas la crainte.
Sois fier, tu n'es pas le caprice temporaire d'un créateur inconscient, en train d'expérimenter dans le laboratoire de la vie.
Tu n'es pas l'esclave de force que tu ne peux pas comprendre, tu es la libre manifestation d'aucune autre force que la mienne, d'aucun autre Amour que le mien, car je t'ai créé dans un but bien précis. Sens ma main, écoute mes paroles.
Tu as besoin de moi, j'ai besoin de toi, nous avons un monde à rebâtir et si cela requiert un miracle, qu'est ce que cela est pour nous ?
Tous les deux nous sommes des miracles et maintenant nous nous avons l'un, l'autre.
Je n'ai jamais perdu confiance en toi depuis le jour où je t'ai jeté sur une vague géante, puis déposé, impuissant, sur le sable du rivage.
Si tu veux calculer le temps, c'était il y a plus de cinq cent millions d'années.
Il y a eu plusieurs modèles, plusieurs formes, plusieurs dimensions avant que j'en arrive à la perfection avec toi.
Il y a plus de trente mille ans et depuis, je n'ai fait aucun effort pour t'améliorer, car, comment peut-on améliorer un miracle ?
Tu étais une pure merveille à contempler, j'en étais content, je te donnais ce monde et tout pouvoir sur lui, puis, pour te permettre d'atteindre ton plein potentiel, j'ai une fois de plus, placé ma main sur toi.
Je t'ai donné des pouvoirs inconnus à toutes autres créatures de l'univers, même encore aujourd'hui.
Je t'ai donné le pouvoir de penser, je t'ai donné le pouvoir d'aimer, je t'ai donné le pouvoir de vouloir, je t'ai donné le pouvoir de rire, je t'ai donné le pouvoir d'imaginer, je t'ai donné le pouvoir de créer, je t'ai donné le pouvoir de planifier, je t'ai donné le pouvoir de parler, je t'ai donné le pouvoir de prier.
L'orgueil que j'ai de toi, est illimité.
Tu es ma création ultime, mon plus grand miracle, un être vivant, complet.
Un être qui peut s'adapter à tous les climats, à toutes les rigueurs, à tous les défis, un être qui peut diriger sa propre destinée, sans aucune interférence de ma part.
Un être qui peut traduire une sensation ou une perception, non pas par instinct, mais par la pensée et la délibération de la meilleure action pour lui et pour l'humanité tout entière.
Nous arrivons ainsi à la quatrième loi de la réussite du bonheur, car je t'ai donné un autre pouvoir, un pouvoir tellement grand que même les anges du paradis ne possèdent pas.
Je t'ai donné le pouvoir de choisir.
Avec ce cadeau, je t'ai même placé au-dessus de mes anges, car les anges n'ont pas la liberté de choisir leurs péchés.
Je t'ai donné le contrôle total de ta destinée.
Je t'ai dit de déterminer pour toi-même, ta propre nature conformément à ta propre volonté et tu as également reçu le pouvoir d'écouter ton âme, et de remettre sous une forme aisée et divine.
Jamais je ne t'ai retiré ce grand pouvoir qu'est celui de choisir.
Qu'as-tu fais de cette force extraordinaire ?
Regarde-toi, penses aux choix que tu as faits dans ta vie et souviens-toi maintenant de ce dur moment où tu te serais mis à genoux pour que l'on te laisse l'opportunité de recommencer.
Ce qui est passé est passé.
Et maintenant, tu connais la quatrième grande loi du bonheur et de la réussite.
Sers-toi avec sagesse de ton pouvoir de choisir.
Choisis d'aimer plutôt que de haïr, choisis de rire plutôt que de pleurer, choisis de créer plutôt que de détruire, choisis de persévérer plutôt que de lâcher, choisis de louer plutôt que de critiquer, choisis de guérir plutôt que de blesser, choisis de donner plutôt que de voler, choisis d'agir plutôt que de remettre à demain, choisis de t'améliorer plutôt que de rester sédentaire, choisis de prier plutôt que de maudire, choisis de vivre plutôt que de mourir.
Tu sais maintenant que je ne suis pas responsable de tes malheurs, car je t'ai nanti de tous les pouvoirs.
L'accumulation des actions et des pensées qui t'ont mené sur les déchets de l'humanité viens, de toi et non pas de moi.
Les cadeaux de puissance étaient très importants pour ta petite nature.
Maintenant, tu es grand et sage, les fruits de la terre seront à toi.
Tu es plus qu'un être humain, tu es un humain en évolution.
Tu es capable de grandes merveilles, ton potentiel est illimité.
Qui d'autre parmi mes créatures a maîtrisé le feu, qui d'autre parmi mes créatures a conquis la gravité à étudier les cieux, a conquis la maladie, la peste et la sécheresse.
Ne te rabaisse plus jamais.
Ne te contente jamais des miettes de la vie et, à partir d'aujourd'hui, ne cache plus jamais tes talents. Souviens-toi de l'enfant qui dit :
Quand je serai grand "Pourquoi "
Car le grand garçon dit :
"Lorsque je serai plus mûr". Puis il dit :
"Lorsque je serai marié".
Mais être marié, qu'est-ce que c'est après tout ?
Et cela se transforme en " Lorsque je me retirerai "
Et puis la retraite arrive et il regarde en arrière le chemin parcouru, un vent froid balai le paysage qu'il a en quelque sorte, manqué et que maintenant, disparu.
Jouis de ce jour aujourd'hui, et de demain, demain.
Tu as accompli le plus grand miracle du monde, tu es ressuscité des morts et des vivants.
Tu ne t'apitoieras jamais plus sur toi-même et chaque jour sera pour toi, une joie nouvelle et un nouveau défi.
Tu renais, mais tout comme auparavant, tu peux choisir l'échec et le désespoir ou la réussite et le bonheur, le choix t'appartient. Ce choix n'appartient qu'à toi, je ne peux qu'observer, comme je le faisais avant, fier ou triste.
Il y a autre chose pour compléter les quatre grandes lois
"FAIS TOUT CE QUE TU FAIS AVEC AMOUR "
Amour pour toi-même, amour pour tous les autres et amour pour moi.
Sèche tes larmes !
Tends la main ... prends la mienne ! Tiens-toi droit
Laisse-moi couper les sueurs qui t'emprisonnent.
Aujourd'hui tu as reçu mon message...
Je m'adresse à toi maintenant pour trois raisons.
Tu as besoin de moi.
Tu ne fais pas partie d'un troupeau marchant vers la destruction, dans la masse grise de la médiocrité, mais tu es très rare.
Prends l'exemple d'une peinture de Rembrandt, d'une statue de Degas, d'un violon de Stradivarus ou une pièce de Shakespeare, ils sont d'une valeur immense pour deux raisons : leur créateur était un Maître et ils sont peu nombreux et pourtant, il existe plusieurs exemplaires de ces œuvres.
Par ce raisonnement, tu es le trésor le plus précieux de la terre, car tu sais qui t'a créé et tu sais que tu es un exemplaire unique.
Jamais parmi les dix-sept milliards d'individus qui ont foulés le sol de cette planète depuis le début de tous les temps, il n'y a eu quelqu'un qui te ressemblait exactement, jamais jusqu'à la fin des temps, il n'y aura quelqu'un qui te ressemblera exactement.
Jamais tu n'as montré ta connaissance ou ton appréciation de ton individualité et pourtant tu es la chose la plus rare au monde.
De ton père, en un moment "suprême d'amour", s'est écoulé un nombre infini de graines d'amour, plus de quatre cent millions et toutes, alors qu'elles se dirigeaient vers ta mère, ont péri, sauf une, TOI.
Tu es le seul à avoir persévéré dans la chaleur amoureuse du port de ta mère, à la recherche de ta moitié, une cellule de ta mère, tellement petite, qu'il en faudrait deux millions pour remplir une coquille de noix.
Et pourtant en dépit des chances pratiquement impossibles dans ce vaste océan d'obscurité, de désastre, tu as trouvé cette cellule infiniment petite.
Tu t'es joint à elle et tu as commencé une vie nouvelle "TA VIE" et tu es arrivé portant avec toi, comme le fait tout enfant, le message, que je n'étais pas encore découragé de l'homme.
Deux cellules maintenant unies dans un miracle, chacune contenant vingt-trois chromosomes et dans chacun de ces chromosomes des centaines de germes définissant chacune de tes caractéristiques, depuis la couleur de tes yeux jusqu'au charme émanant de tes manières, jusqu'à la dimension de ton cerveau.
Avec toutes les possibilités que j'avais à ma disposition, en partant de cet unique spermatozoïde de ton père, retenu parmi les quatre cent millions, avec les centaines de germes contenus dans chacun de ces chromosomes de ton père et de ta mère, j'aurais pu créer trois cent mille milliards d'humains, tous différents les uns des autres, mais, qui ai-je décidé de créer ?
Toi, unique, le plus rare de tous.
Un trésor sans prix, doté de qualités d'esprit, d'expressions, de mouvement, d'aspect et d'instinct tel que personne ayant vécu, vivant ou qui vivra, n'aura jamais.
Pourquoi t'es-tu évalué en monnaie, alors que ta valeur est royale.
Pourquoi as-tu écouté ceux qui te rabaissaient et bien pire encore, pourquoi as-tu cru en eux ?
Suis mon conseil, ne cache plus jamais ta rareté dans l'ombre, sois- en fier, montre-là au monde entier.
Efforce-toi de ne pas marcher comme marche ton frère, pas plus que parler comme parle ton chef, pas plus que travailler comme le font les médiocres, ne fais jamais comme les autres, n'imite jamais, car, comment sais-tu si tu n'es pas en train d'imiter le démon, car celui qui imite le démon, dépasse toujours l'exemple de son maître, alors que celui qui imite le bien n'atteint jamais celui qui le contemple.
N'imite personne, sois toi-même, montre ta rareté au monde et le monde te couvrira d'or.
Ceci est alors la seconde loi, proclame ta rareté. Maintenant, tu connais deux lois, compte tes bénédictions...... proclame ta rareté.
Tu n'as aucun handicap, tu n'es pas un médiocre, tu acquiesces, tu commences à sourire, tu admets tes erreurs personnelles.
Quel est donc ta plainte suivante ?
L'opportunité ne se présente jamais à toi, suis mon conseil et elle s'offrira à toi, car maintenant je te donne la loi de la réussite dans tous les domaines.
Il y a plusieurs siècles cette loi a été donnée à tes aïeux du haut d'une montagne, certains ont observé cette loi et leur vie a été remplie des fruits du bonheur, de la réussite, de l'or et de la paix de l'esprit.
Mais la plupart n'ont porté aucune attention, car ils recherchaient des moyens magiques, des routes détournées ou attendait le démon, appelé "la chance" qui devait leur livrer les richesses de la vie.
Ils ont attendu en vain, tout comme toi et puis ils ont pleuré tout comme toi, m'accusant de leur mauvais sort.
La loi est simple : jeune ou vieux, roi ou mendiant, blanc ou noir, homme ou femme, tous peuvent employer ce secret à leur avantage.
Parmi toutes les règles, les discours et les écrits, traitant de la réussite et de la façon de l'obtenir, il n'y a qu'une seule méthode qui n'a jamais échoué : quiconque te demandera de faire un kilomètre avec lui, fais-en deux.
Et c'est la troisième loi. Le secret qui t'apportera les richesses et la gloire, au-delà de tout ce que tu peux imaginer.
Fais un kilomètre de plus.
Le seul moyen assuré de réussir est de rendre un service meilleur et plus grand que celui qu'on attend de toi, quelle que soit la tâche.
C'est là une habitude qu'ont prise tous les gens qui ont réussi depuis le début de tous les temps.
Par conséquent, je te déclare que : la meilleure façon de te borner à ta médiocrité, c'est d'effectuer uniquement le travail pour lequel tu es payé.
Ne pense pas que l'on t'exploite si tu donnes plus que pour ce dont tu es payé, car chaque vie a son pendule et toute la sueur qui perlera sur ton front, si on ne te le paye pas aujourd'hui, te reviendra décupler demain.
Le médiocre ne parcourt jamais un kilomètre de plus, car, pourquoi s'exploiter lui- même pense t'il, mais, tu n'es pas médiocre.
Parcours un kilomètre supplémentaire, c'est un privilège que tu dois mériter de ta propre initiative.
Tu ne peux pas et tu ne dois absolument pas éviter cet effort.
Néglige-le, fais-en aussi peu que les autres et la responsabilité de ton échec, sera entièrement tienne.
Tout en rendant service, tu reçois immanquablement la compensation qui s'impose.
Tu dois souffrir de la perte de la récompense en ne le faisant pas.
Cause et effet, moyen et fin, graine et fruit, ne peuvent être séparés.
L'effet est déjà en fleur dans la cause, la fin se trouve dans les moyens et le fruit est toujours dans la graine.
Fais un kilomètre de plus. Ne te ne préoccupe pas de devoir servir un maître ingrat, sers-le encore plus.
Et à sa place laisse- moi être celui qui est en dette avec toi car, alors, tu sauras, que chaque minute, chaque service supplémentaire que tu rendras te sera toujours remboursé et ne t'inquiète pas si la récompense tarde un peu.
Car plus le paiement est retenu, mieux c'est pour toi.
Et l'intérêt composé de l'intérêt composé est l'un des bénéfices les plus avantageux de cette loi.
Tu ne peux exiger la réussite, tu ne peux que la mériter, et tu connais maintenant le grand secret nécessaire afin d'obtenir la récompense rare.
"Fais un kilomètre de plus".
Où est-il ce champ où tu pleurais qu'il n'y avait pas d'opportunité ?
Regarde autour de toi, voilà, où hier encore, tu te vaudrais sur les déchets de ta pitié.
Tu marches maintenant la tête haute, sur un tapis d'or. Rien n'a changé, sauf toi, mais tu es tout, tu es mon plus grand miracle, tu es le plus grand miracle du monde.
Et maintenant, tu possèdes les trois lois du bonheur et de la réussite. Compte tes bénédictions...... proclame ta rareté...... fait un kilomètre de plus.
Sois patient envers ton progrès pour compter tes bénédictions avec gratitude, pour proclamer ton indivi- dualité avec fierté, pour parcourir un kilomètre de plus et puis un autre.
Ces gestes ne peuvent être accomplis en un clin d'œil. Mais, ce que tu acquières avec le plus de peine, c'est ce que tu conserves le plus longtemps.
Ceux qui ont réussi à amasser une fortune y font beaucoup plus attention que ceux qui en ont hérité.
